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The Smashing Pumpkins . Chapitre 3
Glass and The Machines of God
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traduit par le webmaster
version originale sous la version française
          21 juillet 2000

          glass et l'armée synthétique - 3ème partie

          sans foyer, sans famille, sans égal...venez par les hivers trop souvent vus...ressenti dans la dévotion, espérant dans ce qui est incertainement...élever la voix oui ! des enfants vers un enfant...une magnifique couronne pour voir et refuser, prédire dans une prophétie dans un temps mercurial mesuré...ce sont notre moment, notre monde, ce sont notre église, nos enfants, notre domination jusqu'ici non révélée, jusqu'ici non revendiquée...l'univers est le nôtre réduit à un portrait minuscule...avec l'amour et le feu et le désir et l'innocence pour porter un jugement sur nous tous...dans cette dualité jusqu'à ce que nous soyons vraiment libres...ce rôle a été donné et accordé, l'enfant a pris sa main...ne connaître aucun autre exemple dans le coeur de quelqu'un c'est marcher en avant vers l'oubli...levé du sommeil pour être battu, déplacé vers des non-larmes d'une violence implicite qui est suspendue dans les airs à toute heure...ces terreurs et ces troubles vont te faire qu'il fut dit mais d'une manière ou d'une autre ils continuent de le casser...un sourire est toujours le plus grand effaceur, et les rêves de ces sourires et de ces milles futurs ont permis à un jardin secret de grossir, cependant tout est devenu triste vrai...vous pouvez dire que ce n'était jamais, mais c'était...et ils peuvent dire que ce ne sera jamais, mais ce sera...quelque chose s'échappe le long de la route...dans la traduction, dans la mémoire, dans la vision, mais c'est juste comme c'est...donc pour fortement sonder les visages il faut voir son propre visage, s'étonner de la réflection et ne pas juger, mais ceci est aussi impossible...l'accusé va se tenir un jour comme le plaignant...les erpents de corde entre les jambes, l'une s'élève dans le pouvoir, l'autre dans la solidarité, ceci est la vision universelle du mouvement...j'avais l'habitude d'être un petit garçon si vieux dans ses chaussures...chaque visage imprimé se claque comme un tatouage sous ma peau, chaque indignité qui se cicatrisait sur mon coeur brisé, marche avec moi comme fantôme et conscience...un garçon, un zéro, un héros, une chèvre, une vitre fantôme gelée, brisée, c'est tout ce que vous avez besoin de savoir...le codex chaque moment dans cette guerre sans fin, l'usure stable, mais les victoires oh si douces et pures...en cela nous buvons de sources de montagnes et laissons le vieux soleil grandiose nous tremper...maudir l'existence de quelqu'un est une sorte de pouvoir, en particulier si vous pouvez décider de faire le meilleur de cette haine, d'alimenter cette colère avec la nécessité de résignation et de résolution...voiler ta peine et ta peur dans le langage du son, la poésie de la dévotion...un enfant dessine la maison parfaite avec les parents parfaits et la voiture parfaite et le chien parfait, signant inconsciemment dans un contrat engagé à être brisé...les choix sont venus avant tout ce qu'il croyait, mais d'une manière ou d'une autre l'éclat duveteux de l'intuition ne semblait pas couvrir les plages de cette bête particulière...glass désintègre tout cela pour votre divertissement, sa résolution d'être la bombe atomique non soutenue et arborant ce sourire parfait...de la première corde est venu le frissonnement et de la dernière corde viendra la paix...c'est un jeu à être joué rageusement, alors changez les noms et créer quelques nouveaux verbes et allez-y...cet enfant était battu et une décision pour ne jamais jamais pleurer encore...dans ce pays stupide d'idéal gelé, QUI ET OU SONT-ILS MAINTENANT ?? les idoles de persécution en bois dans la gloire de la résurrection faible et interminable...qui sera là sur votre lit de mort pour tenir votre main et essuyer votre sourcil...qui va jeter sur vous la dernière pierre, est-ce que ce sera les mêmes démons, auteurs et éventreurs de loin pour hanter et décimer...tous les martyrs sont morts et vont rester de cette manière...vague après vague de fureur croiser la révérence jusque là est un peu plus que des enveloppes carbonisées et des soupirs clignotants...rien de plus à regarder, rien de plus à voir, rien de plus...l'univers se resserait aussi rapidement que si ça avait été posé dans une malice qui s'épanouit...le premier souffle a produit la révolution, la dernière cloche résonne le silence...assembler les yeux et les visages de poupée des parents parfaits avec les dents parfaites qui sourient sur les enfants parfaits. longue vie au rock !!!! Qu'est-ce qu'un intrus soutient s'ils se tiennent calmement à l'intérieur...pouvez-vous vivre à l'intérieur et à l'extérieur simultanément ? ou nos héros doivent-ils toujours être à l'extérieur entrant en passant ? prouver quoi ? et à qui ? un idéal brisé pour lequel aucune récompense n'est donné sinon un respect rancunier...l'esprit se casse mais la volonté est forte...comme la douce lumière blanche caresse leur visage ils savaient que tout était bien et que tout serait pardonné, et que leur écho résonnerait et résonnerait pour toujours...dans des cascades lourdes et des parades électriques engourdies, la vraie essence coulerait lentement et dénaturerait, devenant un nouvel art inreconnaissable dans sa distortion...un garçon tient sa guitare dans ses bras d'adolescent et il est le pouvoir...un homme tient en haut une guitare cassée et il est fracassé...qui va relever les pièces ce temps ? seul Dieu connaît la vraie vérité...d'enfant à enfants sont passés au-dessus des têtes et des coeurs, ont imploré à savoir et continuent à savoir...la révolution n'est jamais terminée, elle ne fait que commencer...drôlement comment cette révolution était télévisée et tout le monde était ennuyé et a changé de chaîne vers quoi ? mannequins qui jacassent sur la poussière d'ange et la prière de pouvoir...par où le passé hiverne mais nous continuons de vivre et de vivre et de vivre...encore et encore nous sommes en fissures et de rouille et agitant des portes écrans, pour n'être jamais oubliés...êtes-vous déjà fatigués ????

          July 21th, 2000

          glass and the synthetic army part III

          without focus, without generation, without peer...come whither winters too often seen...felt in devotion, willing in it's uncertainty...cry aloud yes! children to a child...a crown glorious for seeing and naysing, soothsaying into prophecy in measured mercury time...this is our moment, our world, this is our church, our children, our dominion as yet undisclosed, as yet unclaimed...the universe is ours reduced to tiny portraiture...with love and fire and desire and innocence to reckon judgement upon us all...in this duality until we are truly free...this role cast and agreed upon, the child took it's hand...to know no other except in one's heart is to walk forward into oblivion...raised from sleep to be beaten, moved to non-tears from an implied violence that hung in the air at all hours...these terrors and troubles will make you he was told but somehow they continue to break him...a smile is always the great eraser, and the dreams of those future smiles and miles allowed a secret garden to grow,however sad true it all became...it never was you can say, but it was...and it never will be they can say, but it will...something always gets lost along the way...in translation, in memory, in vision, but that is just how it is...so to peer strong into the faces one must see their own face, to wonder reflection and not judge, but this too is impossible...for the accused will one day stand as the accuser...the cord snakes between the legs, one fist raised in power, the other fist raised in solidarity, this is the universal vision of the movement...I used to be a little boy so old in my shoes...for every face slap that imprinted itself as tattoo under my skin, every indignity that scarred itself upon my broken heart, walks with me as ghost and conscience...a boy, a zero, a hero, a goat, a ghost frozen glass, broken, this is all you need to know...the codex every moment in this war without end, the attrition constant, but the victories oh so sweet and pure...in this we drink from mountain springs and let the grand old sun soak us old...to curse one's very existence is a kind of power, especially if you can decide to make the best of that hate, to fuel that anger with the necessity of resignation and purpose...to cloak your pain and fear in the language of sound, the poetry of devotion...a child draws the perfect house with the perfect parents and the perfect hot rod car and the perfect dog, unwittingly signing into a contract bound to be broken...the choices came before all he believed, but somehow the fuzzy glow of intuition didn't seem to cover the tracks of this particular beast...glass disintegrates it all for your entertainment, his purpose to be the atom bomb unsustained and smiling that perfect smile...from the first cord came shiver and from the last cord will come peace...it is a game to be played viciously, so change the names and make up a few new verbs and there you go...this child was struck and a decision made to never never cry again...in this stupid land of the frozen ideal, WHO AND WHERE ARE THEY NOW?? the wooden idols of persecution in the glory of helpless and unending resurrection...who will be there upon your deathbed hour to hold your hand and wipe your brow...who will cast the last stone upon you, will it be the same demons, perpetrators and eviserators from long to haunt and decimate...all martyrs are dead and there going to stay that way...wave after wave of fury crossing the bow till there is little more than charred husks and winking sighs...no more to behold, no more to see, no more...the universe was contracting as quickly as it had been set into expanding malice...the first blow struck revolution, the last bell resonant silence...to match the eyes and the doll faces of the perfect parents with the perfect teeth smiling upon the perfect children. long live rock!!!! What does an outsider stand for if they stand cooly on the inside...can you exist inside and outside simultaneously? or must our heroes forever be on the outside looking in? to prove what? and to whom? a broken ideal for which no rewards are given but grudging respect...the spirit breaks but the will is strong...as soft white light caressed their faces they knew that all was good and all would be forgiven, and that their echo would ring forever on and on...in dull cascades and numb electric parades, the true essence would distill and pervert, becoming an unrecognizable new art in it's distortion...a boy holds his guitar in teenage arms and he is power...a man holds aloft a broken guitar and he is shattered...who will pick up the pieces this time? only God knows the true truth...from child to children passed above heads and hearts, beseeched to know and keep knowing...the revolution is never over, it is just beginning...funny how this revolution was televised and everybody got bored and changed the channel to what? chattering mannequins on angel dust and power prayer...whither winters past but we live on and on and on...again and again we are in cracks and rust and swinging screen doors, never to be forgotten...are you tired yet????


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