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The Smashing Pumpkins . Revue de Presse
- Novembre 2000 - Rythem Magazine
- Interview de Jimmy Chamberlin
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Traduit par le Webmaster

    Rhythem: Vous êtes juste seulement retournés dans le groupe dans lequel vous êtes nés - et maintenant tout cela en vient à sa fin....

    Jimmy Chamberlin: Je me sens chanceux de faire partie de la fin, tout comme je me sens chanceux d'avoir fait partie du début. Je vois cela comme le début de quelque chose de nouveau. C'est quelque chose que j'ai commencé alors c'est quelque chose que je devrais finir.

    Qu'avez-vous fait pendant les deux ans et demi où vous étiez absent de la musique ?

    Croyez le ou pas, j'ai fait de la course automobile pendant deux ans. Je suis allé à l'école, j'ai eu ma licence et j'ai commencé à faire de la course automobile.

    Comment avez-vous fait ?

    Ok, je pense qu'un top ten était mon meilleur résultat. Parfois il y aurait eu tant de course des années 90. C'était plutôt intense.

    Pendant ce temps, jouiez-vous de la batterie ?

    Pas vraiment. Un peu ici et là.

    Pensez-vous que vous étiez effrayé par quelqu'un qui aurait pu vouloir travailler avec vous ?

    C'est possible, je ne suis pas sûr.

    Votre carrière a été corrompue de traumatismes. Séparément de la drogue, il y a eu des histoires d'épuisements nerveux...

    Oui, je suis très heureux d'être vivant. Je sens que mes anges m'ont regardé et m'ont donné une seconde chance, tandis que Dieu a presque arraché le tapis de tous ces batteurs qui sont tombés sur la route que j'ai.

    Vous sentiez-vous aller en enfer ?

    Absolument, après une double-overdose. Comment quelqu'un revient à la vie et essaie de mourir encore ? Cela n'a pas beaucoup de sens pour moi maintenant mais cela en avait beaucoup alors. Je me détestais, je détestais ma vie et je ne pouvais pas voir le point. Je ne réalisais pas qu'on m'avais fait un don. J'étais dans le plus grand groupe du monde et je ne le voyais pas ainsi.

    Votre jeu souffrait-il du résultat de tout cet abus volontaire?

    Techniquement oui, mais cela m'a aussi forcé à réévaluer les outils que j'avais, comme opposé à les prendre pour concédés. Je pense que Machina est probablement le disque le plus honnête que nous ayons jamais fait car c'est le moins forcé. Cela nous vint naturellement, comme opposé à penser à ces grands schémas comme 'Geek' - des chansons qui sont vraiment heavy et répétées tant de fois qu'il n'y a plus d'autre salle pour autre chose.

    Comment c'était d'enregistrer Machina?

    Très relax. 'Relaxé' à pumpkinland signifie des heures supplémentaires à quelqu'un d'autre. Nous travaillions sept jours par semaine de midi à minuit. Et comme je n'avais pas joué depuis longtemps, je devais me réveiller à neuf heures, m'entraîner pendant trois heures, aller au studio, rentrer à la maison à minuit, et alors m'entraîner jusqu'à trois heures du matin, alors me réveiller et faire tout cela encore et encore.

    Pourquoi vous faites-vous cela à vous-même ? Ne pouviez-vous pas jouer un simple arrière-plan ?

    Non, non, non, non. Je n'aurais pas fait cela à mes amis. Car ils savent de quoi je suis capable.

    Les Pumpkins ont toujours possédé cet éclat démoniaque. Pourquoi n'est-ce pas juste un autre groupe ?

    Les Pumpkins sont l'incarnation d'une vie d'expériences et de tribulations. Quand vous pouvez encapsuler cela dans un groupe et le mettre en bouteille comme un son, je pense que c'est vraiment quelque chose de spécial. Je pense que les Zeppelin l'avaient. La musique anglaise est responsable de ce que nous sommes. Les pumpkins sont totalement redevables aux Yarbirds, Zeppelin, Deep purple, Sabbath. Ces groupes anglais sont nos idoles. Quand bien même la plupart des Anglais semble nous détester.

    Parlons de Mellon Collie And The Infinite Sadness, un travail monumental, et le double-album le plus vendu de tout temps. Comment vous sentez-vous à propos de cela maintenant ?

    C'est du génie. Je ne peux pas expliquer comment le concept est insensé pour moi maintenant. Enregistrer un album de 28 chansons... quand bien même nous en avons enregistré plus de 50 pour Mellon Collie. Accaparer vous-même dans cette éthique de travail - il n'y a pas moyen de faire cela encore. Cela a pris un an après que nous ayons fait 'Tonight Tonight', '..Ruby' - Je ne sais pas d'où ces chansons sont venues. C'est comme quelque ange qui vous les amène.

    Rythem magazine: Revenons maintenant au début, de quoi vous souvenez-vous à propos de la musique de votre enfance ?

    Jimmy Chamberlin: Mon père était clarinettiste, donc tout ce que j'ai entendu quand j'ai grandi, c'était Duke Ellington, Benny Goodman et le comte Basie. J'étais presque élevé dans un gros groupe et, quand j'ai commencé à jouer de la batterie, mes premières influences étaient probablement Buddy Rich et Ian Paice. J'ai vu Buddy Rich quand il était vivant, probablement 10 ou 12 fois et j'ai parlé avec lui une fois. Il m'a dit, "Les meilleurs joueurs sont les voleurs qui ne se font jamais attraper. Ils prennent tout ce qu'ils entendent et le font à leur sauce. Cela marche pour tout le monde de Carl Palmer à Ian Paice à Neil Peart et Bonham.."

    Que des caractères extrêmes. Doit-on être dérangé pour être batteur ?

    Je ne sais pas. Je ne l'ai pas demandé à assez de batteurs (rires) et beaucoup d'entre eux sont morts, alors peut-être. Billy pense qu'il faut être un peu dérangé pour jouer de la batterie. Buddy Rich l'était certainement. Il était une piqûre complète pour ses musiciens. Je ne sais pas si c'est de la folie ou du perfectionnisme ou du contrôle ou quelque sorte de schisme. Mais je pense que c'est définitivement vrai avec n'importe lequel de ces gens.

    Comment vont vos oreilles ? La dernière fois que j'ai vu les Pumpkins, à l'académie Brixton en 1993, je pensais que ma tête allait exploser.

    Je porte définitivement des bouchons. Je ne vais pas détruire mon audition. Mais au regard du passé, je ne l'ai jamais fait et ma batterie était si bruyante. Je suis allé chez un orl et il a dit il y a 5 ans que j'avais un "six K dip" de toutes les cymbales. Vous devez considérez ces choses sérieusement. Si vous allez être musicien, vous devez avoir une bonne audition. Alors je me suis fait faire des bouchons à oreilles et je les ai maintenant à chaque fois que je joue.

    En quoi l'équipement est important pour vous ? Etes-vous perfectionniste pour avoir le bon lacet (snare ?) par exemple?

    Absolument, J'ai à peu près 60 lacets (snares) et ils ont tous exactement le même son (rires). Ils ont le son le plus proche du lacet (snare) de Bonham que je puisse avoir. L'emplacement de ma batterie est très importante. J'ai Timmy Doyle comme conseiller technique maintenant depuis plus de 6 ans et je ne travaillerais jamais avec quelqu'un d'autre. Je vais faire d'autres trucs et des cliniques dans les Etats et je le prendrais définitivement toujours avec moi.

    Chad Smith fait une tournée sponsorisée par Rythem en Grande-Bretagne le mois prochain avec Steve White. Pensez-vous que vous pourriez un jour venir de loin et faire quelque chose comme ça en Grande-Bretagne ?

    J'adorerais. J'adore apprendre. J'ai enseigné pour un temps à Chicago et cela en valait tant le peine. Je pense vraiment qu'il est important de partager ce que tu possèdes. J'ai rencontré beaucoup de batteurs dans les Etats, des batteurs qui m'avaient écrit des lettres dans le passé. Je garde des traces de toutes leurs carrières tant que je peux. Nous avions une boîte postale, et je répondais à chaque batteur qui m'écrivait. Parce que Ian Paice m'a répondu quand j'étais gamin. J'ai encore la lettre aujourd'hui. C'est quelque chose qui n'a pas de prix.

    Qu'est-ce qui vous attirez tant chez Ian Paice?

    Son timing était si bon, ses roulements de coups uniques étaient si bons, son pouvoir et son endurance étaient si bons. Trucs comme, made in Japan, et tous les trucs live, 'Child in the Time', le solo de 20 minutes. J'etais un grand fan du rock stupide fait très, très bien.

    Est-ce que votre père s'est opposé à vous quand vous avez fait la transition de Benny Goodman à l'heavy metal anglais ?

    Pas du tout. Mon père était du genre, 'quoi que ce soit, la musique est la musique'. En fait mon père dormait quand je m'entrainais à la batterie. Il prétend qu'il ne se levait que quand je faisais une faute.

    Vous avez étudié la musique pendant beaucoup d'années.

    J'ai commencé à jouer à l'âge de 7 ans, sur le kit de mon frère. J'ai commencé à prendre des cours à 8 ans, d'un batteur d'un très bon groupe style Buddy Rich. Après cela j'ai pris à peu près 2 ans de batterie de gros groupe. C'était beaucoup de trucs Krupa 'Sing Sing Sing', beaucoup de techniques de cymbales de gros groupe. Après cela j'ai étudié avec un gars qui était basé Bresilian et j'ai aussi étudié beaucoup de batucadas et de sambas et beaucoup de musique Trinadian .

    Vous avez fait une formation de clairon et de tambour. Qu'était-ce exactement ?

    Une formation de clairon et de tambour est une sorte de groupe de marche militaire, quand tu alignes 8 batteurs de lacet (snare drummers) qui jouent des cadences embrouillées et compliquées. C'est très bon pour la technique de batterie-lacet (snare drum). La plupart de ces morceaux est basée sur les pages ultérieures de 'stick control' par George Lawrence Stone, un de mes livres préférés, le livre dont j'ai l'usage chaque jour. C'est beaucoup de petits coups de blagues, de ratamacues, d'éléments basiques. J'ai aussi joué dans un groupe de polka. J'ai joué sur une télévision de magazin chaque samedi soir et sur un show radiophonique tous les dimanche. Ce polka 2/4 qui joue est dominé par quelque chose de vraiment facile à jouer, mais il faut beaucoup de jeu de lacet (snare playing) et beaucoup de touchers brillants pour le faire correctement. Beaucoup de petits fracas sur la cymbale montée (ride cymbal) et beaucoup de jeu dynamique.

    Vous avez quitté l'université après juste un an...

    J'ai rejoint un groupe et ne suis jamais revenu. C'était une perte de mon temps. Je recommanderais cela pour des gens qui n'ont pas beaucoup d'expérience musicale avec d'autres gens. But by the time I was 18, I'd been playing professionally for 4 years. With this band I was playing things like the theme from 'WEst Side Story', which is difficult, and to do it with choreography and dancers was great experiance for me. If you can bring all that to the table, you're definately ahead of the game, as opposed to going to college and hearing some stupid professor tell you about what it was like in the '40s when he was playing with Shelly Manne.

    Pouvez-vous me raconter comment vous avez rencontré les Smashing Pumpkins ? La légende dit que vous les avez vu jouer avec une boîte à rythmes et...

    Ils étaient terribles. Mais nous étions à chier alors. Je ne pouvais pas jouer du rock pour sauver mes fesses. Billy, D'arcy et James avaient déjà commencé les Smashing Pumpkins. Ils avaient besoin d'un batteur pour jouer au Metro à Chicago, en octobre 1988. Un ami de Billy vint dans un magasin de disques et a commencé à parler des Smashing Pumpkins. J'étais dans un groupe à ce moment avec le mec qui travaillait dans le magasin de disques, et il a dit "Je connais un batteur qui, si tu lui donnes juste une cassette, viendra et jouera tous les trucs en une nuit"/ Il m'a donné la cassette. J'ai appris 12 chansons, je suis allé les voir deux fois alors qu'ils avaient une boîte à rythmes et je suis apparu avec mon set Gretsch bananayellow et j'ai joué les chansons. Et Billy a dit la première fois qu'il m'a entendu taper sur ma batterie qu'il savait que nous aurions un grand groupe.

    Rythem magazine: Et alors vous avez criés famine pendant trois ans.

    Jimmy Chamberlin: J'ai fait tout ce que je pouvais pour que le groupe continue d'exister. I lived in joliet, à environ 80 km, alors j'ai dû faire beaucoup d'aller-retour. J'ai vendu tout ce que j'avais. Je transportais ma batterie dans la voiture de ma mère, dormant dans sa voiture, jouant des trucs de merde sans gagner d'argent. Nous avons pris à peu près tout l'argent que nous avons gagné pendant la première année et demie et nous les avons mis sur un compte bancaire et c'est ainsi que nous avons fait Gish avec les 30 000 dollars (150 000 frs) que nous avions économisé. Nous n'avions pas de contrat, nous avons fait le disque, alors les compagnies ont commencé à écouter cela. Je ne ferai pas cela à nouveau, mais je le recommenderais à tous ceux qui font cela avec sérieux.

    Comment en-êtes-vous arrivé à ce son d'empreinte Pumpkins ?

    Quand nous avons commencé, nous essayions de jouer cette pop jingly-jangly et alors tout à coup nous avons joué avec Jane's addiction à l'un de nos premiers concerts, et voyant juste ce pouvoir... le jour suivant nous sommes sorti et avons acheté des Marshalls et nous avons juste commencé à rocker. Il n'y a rien de mieux que d'être jeune et d'être dans un groupe de rock. Et nous ne faisions pas de prisonniers en retour alors. Nous étions aussi tapageurs, rapides et belligérants que nous pouvions l'être.

    Est-ce que le fait de venir de Chicago fait de vous un groupe différent ?

    Oui, il y a cette certaine naïveté que l'on trouve dans la musique des Pumpkins. Nous étions le groupe qui n'avaient rien vu. Nous n'avions pas fait de tournée, nous n'avions pas de valises de vol. Les gens avaient l'habitude de nous passer en voiture et de nous corner quand nous emmenions nos amplis de basse dans la rue. Nous venions d'un endroit style très viande et patates, une ville à la périphérie très floue qui n'avait pas de scène artistique. Nous prenions toutes ces choses non-artistiques pour s'inspirer, ce qui a joué, je pense, en notre bénéfice.

    Quand avez-vous atteint la cime de votre pouvoir comme un groupe ?

    Probablement en 1994. Commercialement, probablement en 1996, mais en 1994 quand nous avions notre propre conviction musicale que nous pouvions faire un Mellon Collie, et je pense que c'est où était notre pouvoir personnel le plus fort. J'adore toujours ça à mort. Je pense que c'est un exploit merveilleux.

    Et alors l'année suivante, tout en vint à cette fin affreuse. Pouvez-vous nous parler de la mort de Jonathan et de votre départ du groupe ?

    C'était le pire moment de ma vie. J'aimais Jonathan à mort. Nous étions les meilleurs amis, très proches. Nous faisions tout ensemble. Je ne vais pas aller dans les détails à propos de cela mais je dirai seulement que c'est une perte terrible, spécialement pour la musique et spécialement pour son fils, sa femme et sa famille. Je n'ai pas de réponses. Je n'aime pas le fait que je sois vivant alors qu'il est mort. Cela ne me rend pas heureux. J'ai demandé à être mort ce jour-là. Je me suis réveillé en criant à Dieu...
    C'était suffisamment mal que cela soit arrivé. Mais alors quand j'ai entendu que le groupe me virait, j'étais vraiment prêt à marcher dans un lac et à commencer à me noyer. Mais quelque chose m'a gardé vivant... J'avais beaucoup de support de la part de ma famille et de ma petite-amie à cette période. Ils disaient "te tuer n'est pas la réponse, cela va juste faire que beaucoup de gens font se sentir comme tu te sens maintenant"...

    En Grande-Bretagne, vous êtes l'un des joueurs dans lesquels les jeunes batteurs veulent se reconnaître. Vous sentez-vous coupable de leur avoir donner le mauvaise exemple ?

    Je me sens très mal. Je n'ai jamais essayé d'être un modèle. Oui, les drogues sont mauvaises. Est-ce que cela va faire arrêter les jeunes d'en prendre ? Je ne me suis pas arrêté... J'étais étonné quand nous avons fait cette scéance d'autographes en Amérique (après que Jimmy ait rejoint le groupe) car tant de jeunes sont venus et m'ont dit, "Nous sommes si contents que tu sois de retour dans le groupe". Les gens pardonnent...

    Si Billy Corgan est votre alter ego musical, comment James se place-t-il dans l'équation ?

    Billy est définitivement mon camarade musical de l'âme. Mais je pense à ce point que James est une plus grosse partie des Pumpkins que moi. Je pense qu'il a joué la plupart de la basse sur le disque et qu'il a vraiment percé en jouant cela. Je ne crois pas que ce soit la même personne. Il est si bon, il va plus loin.

    En parlant de la basse, il semble toujours que vous jouez avec Billy seul...

    Je peux voir pourquoi vous voulez dire cela, mais ce n'est pas vraiment vrai. D'Arcy était définitivement un important composant, spécialement dans le studio. Sa solidarité était une partie très importante du groupe. Quelqu'un comme D'Arcy ne joue pas beaucoup de notes mais si vous prenez ça de loin vous réalisez immédiatement sa contribution.
    Son timing est impeccable. Son abilité à jouer des mesures très simples et à les faire sonner ainsi et quelque chose de spécial. Et Melissa a fait un boulot très sympa. Elle est capable de s'intégrer dans le groupe.

    Quels batteurs contemporains admirez-vous particulièrement ?

    Tayler Hawkins, Matt Cameron, Stephen Perkins, Tommy Lee. Il y a un million de grands batteurs ici-bas, Jeremy de Our Lady Peace est très bon, Josh Freese, Sim Cain. J'en oublie un paquet...

    Comment gardez-vous la forme ? A part d'avoir récemment arrêter de fumer après un traitement par acupuncture...

    J'ai fumé si longtemps que personne dans ceux qui me connaissent ne peut croire cela. Mais je me sens beaucoup mieux, mon jeu est meilleur de 20%. Je saute à la corde, je fais un peu d'entraînement de boxe, je cours avec mes chiens. Pour jouer un tel concert, c'est beaucoup plus facile. J'avais l'habitude de m'échauffer pendant 15 minutes avant le concert, maintenant je m'échauffe une heure avant, avec le Stick Control.

    Vous êtes renommé pour votre travail sur caisse claire, mais votre technique de batterie-bass est plutôt remarquable aussi. Des astuces ?

    Je dirai s'étirer beaucoup. je tend à jouer avec les balles de mes pieds, avec ce qui serait les plus bas, la partie médium de mes mollets. Mais cela fait un total terrible d'étirement et de massage. Ma seule astuce pour la batterie-bass serait d'écouter les trois premiers disques des Led Zeppelin (rires), ce truc est vraiment incroyable.

    Cela va être un événement d'enfer quand les Pumpkins vont jouer en Grande-Bretagne pour la dernière fois...

    Nous sommes excités. J'attends vraiment cela avec impatience. Londres a toujours été un grand show pour nous. Cela va être génial.

    Donc, après tout ce que vous avez apporté vous-même dans la dernière décennie, comment vous sentez-vous maintenant ?

    Je me sens très bien. J'essaie juste d'être une bonne personne. C'est sur tout ce que vous pouvez faire je suppose.


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